PRÉSIDENT DE LA SNCF
Séminaire, Bruxelles
Mardi 18 Janvier 2000
Louis GALLOIS
« Si nous ne réagissons pas, le trafic passera par la Suisse et plus par la France : c'est une perte d'activité économique. Je n'imagine pas, par ailleurs, que le Piémont reste un cul-de-sac. »